Troubles du sommeil : l'offre ONIRIS

ONIRIS, l'orthèse d'avancée mandibulaire.

Publié le 06 mai 2013

Le sommeil : un enjeu de santé publique trop peu traité

Pendant des décennies la médecine s’est peu intéressée au domaine des troubles du sommeil, alors même que ceux-ci étaient soupçonnés d’être un facteur d’importance dans l’émergence ou l’aggravation de certaines maladies.

Le récent développement des études sur le sujet a permis d’établir l’importance du sommeil dans l’humeur, la croissance, la maturation cérébrale, la mémoire, mais aussi la part considérable qu’il prend dans l’émergence de maladies ou leur aggravation.
Son influence sur les comportements est donc particulièrement vaste.

Alors que la nutrition ou l'activité physique font l'objet d'importantes campagnes préventives, le sommeil n'est pour le moment pas considéré avec la même attention.
Il est pourtant un véritable enjeu de société.


Une part importante de la population se plaint de troubles du sommeil entraînant, selon les études scientifiques, une grande consommation d’hypnotiques et autres sédatifs.
Par ailleurs, la somnolence excessive, due aux perturbations nocturnes, affecterait plus de 7 millions de sujets et constituerait une des causes principales de mortalité routière, d’accident du travail et même domestique.

Emmenée par une équipe familiale et spécialiste du sommeil, ONIRIS souhaite aujourd’hui ramener le sommeil sur le devant de la scène en mettant l’accent sur un phénomène de société longtemps relégué au rang de « plaisanterie sociale » : le ronflement et l’apnée du sommeil.
Ces deux perturbations nocturnes particulièrement développées (près de 20 millions de personnes concernées) ne sont malheureusement que peu traitées, malgré l’offre de soins existante.
En effet des études ont démontré que 85% à 90% des personnes concernées n’étaient pas traitées.

Comment peut-on expliquer cet état de fait ?


Etat des lieux de l'offre de traitements

Si de nombreux traitements professionnels (médicaux) du ronflement et de l’apnée du sommeil se sont développés ces dernières années, la plupart d’entre eux, dont le système de « pression positive continue », la chirurgie maxillofaciale ou l’orthèse d’avancée mandibulaire fabriquée en laboratoire, restent lourds, inconfortables ou chère et non remboursés (ou peu remboursés).
En conséquence 15% des personnes concernées seraient réellement traitées.

Dans le cas d’apnée du sommeil le traitement le plus généralement proposé aujourd’hui reste la « pression positive continue », un masque posé sur la bouche et le nez et relié à un boitier pulsant de l’air sous pression dans les poumons.
Malgré sa grande efficacité et des progrès dans le confort et le silence des appareils, une étude récente a ainsi montré que 46 (1) à 83% des patients ne supportait pas ce traitement plus de 4 heures par nuit.

Les orthèses d’avancée mandibulaire fabriquées en laboratoire constituent une alternative car les études ont montrées qu’elles sont efficaces et préférées des patients (2).
Elles sont donc de plus en plus proposées en seconde voir en 1ère intention comme du traitement du ronflement ou de l’apnée du sommeil.
Mais elles sont mal remboursées et leur coût, compris entre 600 et 900 euros, reste bien trop élevé pour la grande majorité des patients.

De son coté, la chirurgie maxillo-faciale ne s’adresse qu’à un petit groupe de patient jeunes, non obèses et sur critères anatomiques.
Les techniques utilisées sont lourdes : elles consistent, par un acte chirurgical, à avancer les deux mâchoires et sont réservées à quelques centaines de patients en France chaque année.

Ces problèmes sont renforcés par les capacités de détection qui sont également un souci majeur et sous-estimé.
Selon le professeur Gagnadoux (3) plusieurs dizaines d’années seraient nécessaires pour détecter l’ensemble des sujets concernés par un problème d’apnée du sommeil.

Des « solutions » économiques sont bien sûr proposées en pharmacies depuis des années, mais leur efficacité est faible et reste sujet à caution, aucune étude clinique indépendante n’a démontré leur efficacité objective...

(1) Terri E. Weaver and Ronald R. Grunstein. Adherence to Continuous Positive Airway Pressure Therapy. The Challenge to Effective Treatment. Proc Am Thorac Soc Vol 5. pp 173–178, 2008.
(2) K. Sutherland, P. A. Cistulli, Mandibular advancement splints for the treatment of sleep apnea syndrome. Swiss Med Wkly 141, w13276, 2011.
(3) N. Meslier, S. Vol, B. Balkau, F. Gagnadoux, M. Cailleau, A. Petrella, J.L. Racineux, J. Tichet. Prévalence des symptômes du syndrome d’apnées du sommeil. Étude dans une population française d’âge moyen. Rev Mal Respir 2007 ; 24 : 305-13



L'alternative ONIRIS : : l'orthèse d'avancée mandibulaire

L'alternative ONIRIS : l'orthèse d'avancée mandibulaire

Alors que les traitements généralement proposés présentent donc de nombreux inconvénients : restrictifs (chirurgie), chers (orthèse de laboratoire) ou encombrants (pression positive continue), l'orthèse d'avancée mandibulaire ONIRIS, à la fois simple, efficace et abordable, permet à des profils de patients variés de bénéficier aujourd'hui d'une solution viable.


Pourquoi une orthèse d'avancée mandibulaire ONIRIS ?

Le ronflement peut rapidement devenir une source de conflits au sein du couple.
Difficulté à s'endormir, réveil pendant la nuit, manque de sommeil et irritabilité...
Sans compter que l'apnée du sommeil, généralement liée au ronflement, peut avoir des effets majeurs sur la santé : augmentation du risques d'accidents cardio-vasculaires, d'hypertension artérielle, d'accidents de la route, de cancer...

Ces troubles respiratoires du sommeil sont donc aujourd'hui un problème de santé publique important dont les conséquences sociales, économiques et sanitaires sont majeures.


Une innovation technologique validée cliniquement

Cette innovation technologique dans la lutte contre le ronflement et l'apnée du sommeil est le fruit de l'association de diverses compétences médicales.
L'orthèse ONIRIS a en effet été conçue par une équipe multidisciplinaire composée de dentistes, d'ORL et de pneumologues.
Une complémentarité permettant aujourd'hui de proposer un traitement sur mesure, efficace et durable.

« Cette étude valide l'efficacité d'une OAM innovante sur les paramètres respiratoires et les symptômes du SAOS, le ronflement et la fatigue diurne. »
Extrait du rapport d'étude

Fabriquée en matériaux médicaux flexibles et confortables, l'orthèse ONIRIS s'adapte à la morphologie de chaque patient pour une efficacité optimale et comparable aux orthèses traditionnellement fabriquées en laboratoire.
Une étude menée dans plusieurs centres hospitaliers, dont les hôpitaux Lariboisière et Bretonneau de l'Assistance Publique a démontré que 77% des patients apnéiques ont obtenu une efficacité complète, de même que 83% des patients ronfleurs.
94% des utilisateurs ont par ailleurs été satisfaits ou très satisfaits.


« Au cours de l'étude, les patients ont déclaré porter l'OAM 6,2 heures par nuit et 6,5 jours par semaine. Ces résultats sont comparables aux résultats observés avec des OAM actuellement fabriquées en laboratoire. »
« Les taux d'efficacité sont comparables à ceux relevés dans la littérature récente avec des orthèses fabriquées en laboratoire pour un coût bien inférieur. »
Extraits du rapport d'étude
















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